Archivé: GUIRAUD Catherine

75 x 63 cm acryl sur toile non tendue

Au terme de « démarche artistique »,  je préfère celui « d’expérience », qui laisse plus d’espace à la curiosité et à la découverte qu’à l’intention.

Je présente un ensemble de travaux en majorité sur papier. Ce sont des peintures abstraites, des acryliques fluides et des encres. J’utilise peu de couleurs, du moins peu de couleurs qui se côtoient, et suis soucieuse d’une certaine qualité de texture.

Ces compositions s’organisent en architectures, en clairs obscurs qui, conjugués à des couleurs terre et une préoccupation récurrente de la lumière, peuvent parfois créer une impression de familiarité et nuancer le qualificatif de “peinture abstraite.”

Archivé: CANGARDEL Mireille

L'éveil de la fiancée

En principe, je commence ma toile à partir d’un objet, d’un drapé ou d’une silhouette quelconque dont les formes multipliées abolissent le blanc ou le vide pour aboutir au chaos. Terrible moment ! Mais le plaisir de peindre se manifeste rapidement avec des regards, des mains ou divers animaux qui surgissent pour donner forme à l’informe et matérialiser mes obsessions.

Archivé: DEDIONIGI Federico

Nuevos estados-88d60cde

Né à Buenos Aires, Argentine. Baccalauréat en Arts Visuels de l’Université du Musée social (UMSA), 2011. Il a ensuite complété le master en Art-Thérapie à l’Université National des Arts (UNA), 2018.
Il a vécu à Paris et dans le sud de la France entre 2016 et 2017, ayant l’opportunité de rencontrer des pays, des villes, des musées et des galeries qui ont influencé son travail et sa formation comme l’Angleterre, l’Espagne, l’Italie, Berlin, Bruxelles, l’Islande entre autres.
Étudiant aussi des enseignants artistiques de la taille de Brickles, Tapia Vera, Marina Rothberg, Andres Besatard Maggio et Bernardo Kehoe.
En tant que professeur assistant d’enseignement en Peinture 1 à l’UMSA, dans différentes écoles publiques et privées de la banlieue de Buenos Aires, il a travaillé dans le programme éducatif du Centre Culturel Borges dans la section visites guidées en 2009.
En tant qu’Art Thérapeute, il a travaillé à l’hôpital interzonal Dr.J. Esteves (Temperley) et il a fait son stage à l’association civile Antilco, maison de soutien familial (Dock Sud, Avellaneda) en 2014. Il a également travaillé dans le domaine du handicap dans divers Centres de la banlieue de Buenos Aires.
Il a réalisé des missions scénographiques pour des groupes musicaux, “Experimentores” sur le centre de loisirs et technologie de Buenos Aires Tecnopolis et a été responsable de l’Atelier de Scénographie à la Compagnie de Théâtre “Verte Volar”, pour le programme d’ateliers de Culture Inclusive d’Almirante Brown. Il a travaillé également en tant que technicien lumière pour “A Thousand Words productions”. Illumination de huit courts métrages pour le ministère du développement social. Fabriqué en novembre 2015 dans différentes régions de la province de Buenos Aires.
Il a fait une premère résidence artistique en Argentine à CIMA Recidency, Open Space Intervention, fabriqué à Portezuelo, province de Catamarca en septembre 2018 par Josemiel Platz et Romina Estecher. Et une autre résidence d’art en Islande à Gilfelag Association, à Akureyri, un travail sur la série “Etats d’être”.
Il a continué à développer son travail à Berlin et maintenant après un stage de formation d’artiste au BBB, centre culturel contemporain, il habite et produit à Toulouse depuis 2020.

Archivé: Archipel

Archipel ATELIER

Démarche artistique
Nous sommes un collectif d’artistes, une nébuleuse d’intentions esthétiques venue de l’association Archipel. Ce collectif en est un fragment, se détachant de l’association d’origine. Si tout fragment est fragment de quelque chose, son existence ne renvoie pas nécessairement au tout dont il est issu. Il est donc nécessaire de se définir et de présenter ce collectif autonome.
Archipel est un collectif d’artistes qui travaillent plusieurs disciplines comme la peinture, la sculpture, la céramique et toute autre expression artistique. L’objectif essentiel du groupe est d’amener l’art contemporain vers l’inhabituel par des expérimentations, des matériaux, des techniques nouvelles ou inattendues.
Porter une réflexion sur l’image, le sens du langage ou du corps est une préoccupation très présente dans ce collectif.
Pour les Arts en Balade de 2023, Archipel présente trois plasticien.nes dans les locaux de l’association Archipel à Arnaud-Bernard, lieu qui leur sert d’ateliers depuis 2015.

Archivé: Hocine A

Ma pratique artistique prend des formes diverses entre sculptures, dans lesquelles j’assemble différents matériaux de récupération, et travail de peinture. Mes dernières créations m’ont amené à réaliser une série de dessins sur la représentation du corps. Ils questionnent les choix de cadrage et l’occupation de l’espace. Les drapés aux tissus imprimés de motifs, par leurs mouvements, s’inscrivent dans ce jeu sur l’espace où parfois fond et forme s’entremêlent.

Archivé: COLMAN & PIERROT

Lune_Bleue

Marine
Je suis presque née avec un crayon dans les mains. A trois ans j’ai commencé à gribouiller sur le papier et cela jusqu’à aujourd’hui. Après un passage par les Beaux-Arts de Paris pour côtoyer les plus grands, retour à Toulouse avec l’évidence du dessin pour expression. Lorsque je prends une feuille de papier je suis comme le sculpteur face à un bloc de pierre, je cherche à faire émerger la forme. Cette forme et cette idée préexistent dans ma tête et dans mon corps. C’est souvent une impulsion viscérale de vouloir comprendre quelque chose en le déposant sur le papier. Il s’ensuit une série d’actions : faire trace, recouvrir, gommer, faire réapparaître, puis disparaître, strier, poncer, révéler; autant de strates de matières pour laisser le dessin venir affleurer à la surface. Ici je vous propose une série de dessins avec comme fil conducteur la notion d’être au monde. Chaque dessin est une recherche, et je les nomme ainsi, répondant à mon questionnement sur l’existence. Il y est question du commencement, de ce qu’il y avait avant, de ce qui est là, de ce qui est vivant -animé/inanimé, de soi, de l’altérité, et de ce qui nous rassemble : le monde d’hier, d’aujourd’hui et de demain. Mes dessins fonctionnent souvent par deux : deux interprétations, deux facettes d’un même élément, deux dessins qui dialoguent et qui s’interrogent, vous interrogent… peut-être?

Vincent
Autodidacte, j’ai d’abord abordé la photographie avant de redécouvrir le dessin auprès de Marine. Je suis attentif aux couleurs, formes et textures, avec le but de redécouvrir le monde qui m’entoure. Le dessin permet de m’évader de mon travail quotidien plus cartésien en m’apportant un caractère méditatif. Mon travail se base principalement sur des inspirations photographiques et des interprétations de grands classiques.

Nous deux
Nous avons mis en commun nos univers. Complémentaires, nous nous émulons, échangeons des techniques, idées, aspirations, regards. Chacun nourrit le travail de l’autre et ensemble nous parlons du monde d’hier, d’aujourd’hui et de demain.

Archivé: MOTTA Philippe

peC2

L’arrivée massive des écrans nous laisse encore papier, crayons, encre… mais a provoqué l’obsolescence quasi-immédiate des machines à écrire mécaniques. De la même façon, l’écriture à la main s’est trouvée reléguée au titre de substitut aux claviers.
C’est pour poser ce double constat que je traite les machines à écrire comme des objets défunts, issus d’une archéologie du virtuel ; et que je les présente comme des antiques. Pour l’écriture manuelle, la genèse du processus renvoie davantage au dessin, à la graphie de la lettre. A sa plastique.

Archivé: CANGARDEL Mireille

En principe je commence ma toile à partir d’un objet,d’un drapé ou d’une silhouette quelconque dont les formes multipliées abolissent le blanc ou le vide pour aboutir au chaos. Terrible moment ! mais le plaisir de peindre se manifeste rapidement avec des regards, des mains ou divers animaux qui surgissent pour donner forme à l’informe et matérialiser mes obsessions.

Archivé: LUNAT

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plasticienne, peinture, dessin, vidéo.

Un travail où l’émotion et l’imaginaire ont la part belle, Lunat donne des éléments graphiques et/ou narratifs, pour que le spectateur se crée sa propre histoire…

Archivé: COLMAN & PIERROT

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Marine
Je suis presque née avec un crayon dans les mains. A trois ans j'ai commencé à gribouiller sur le papier et cela jusqu'à aujourd'hui. Après un passage par les Beaux Arts de Paris pour côtoyer les plus grands, retour à Toulouse avec l'évidence du dessin pour expression. Lorsque je prends une feuille de papier je suis comme le sculpteur face à un bloc de pierre, je cherche à faire émerger la forme. Cette forme et cette idée préexistent dans ma tête et dans mon corps. C'est souvent une impulsion viscérale de vouloir comprendre quelque chose en le déposant sur le papier. Il s'ensuit une série d'actions: faire trace, recouvrir, gommer, faire réapparaitre, puis disparaitre, strier, poncer, révéler; autant de strates de matières pour laisser le dessin venir affleurer à la surface. Ici je vous propose une série de dessins avec comme fil conducteur la notion d'être au monde. Chaque dessin est une recherche, et je les nomme ainsi, répondant à mon questionnement sur l'existence. Il y est question du commencement, de ce qu'il y avait avant, de ce qui est là, de ce qui est vivant -animé/inanimé, de soi, de l'altérité, et de ce qui nous rassemble: le monde d'hier, d'aujourd'hui et de demain. Mes dessins fonctionnent souvent par deux: deux interprétations, deux facettes d'un même élément, deux dessins qui dialoguent et qui s'interrogent, vous interrogent…peut-être?

Vincent
Autodidacte, j'ai d'abord abordé la photographie avant de redécouvrir le dessin auprès de Marine. Je suis attentif aux couleurs, formes et textures, avec le but de redécouvrir le monde qui m'entoure. Le dessin permet de m'évader de mon travail quotidien plus cartésien en m'apportant un caractère méditatif. Mon travail se base principalement sur des inspirations photographiques et des interprétations de grands classiques.

Nous deux
Nous avons mis en commun nos univers. Complémentaires, nous nous émulons, échangeons des techniques, idées, aspirations, regards. Chacun nourrit le travail de l'autre et ensemble nous parlons du monde d'hier, d'aujourd'hui et de demain.

Archivé: Archipel

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Archipel
ATELIER

Démarche artistique
Nous sommes un collectif d’artistes, une nébuleuse d’intentions esthétiques venue de l’association Archipel. Ce collectif en est un fragment, se détachant de l’association d’origine. Si tout fragment est fragment de quelque chose, son existence ne renvoie pas nécessairement au tout dont il est issu. Il est donc nécessaire de se définir et de
présenter ce collectif autonome.
Archipel est un collectif d’artistes qui travaillent plusieurs disciplines comme la peinture, la
sculpture, la céramique et toute autre expression artistique. L’objectif essentiel du groupe est d’amener l’art contemporain vers l’inhabituel par des expérimentations, des matériaux, des techniques nouvelles ou inattendues.
Porter une réflexion sur l’image, le sens du langage ou du corps est une préoccupation très présente dans ce collectif.
Pour les Arts en Balade de 2022 Archipel présente quatre plasticien.nes dans les locaux de l’association Archipel à Arnaud-Bernard, lieu qui leur sert d’ateliers depuis 2015.

Archivé: MASON Emmanuelle

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Le regard de l’artiste se pose avant tout sur le monde du vivant et de l’Autre. Ses recherches – sur l’animal, l’érotisme, le corps, la mort, le désastre – ont pour point commun de montrer une extrême délicatesse, une « belle manière » qui piège le regard, alors que les sujets traités sont parfois irregardables ou même immondes. Elle rejoue la question d’un sublime, beau et effrayant à la fois, transposé au monde contemporain et aux apories éthiques, philosophiques, sociales et écologiques qu’il porte. Même lorsque son travail se fait tendre, on trouve une coupure, une brulure, qui tente de prendre en charge la tonalité́ plus ambiguë du sujet, et en laisser percevoir toute l’étrangeté.

« J’ai cette intuition, même si je peine à poser des mots dessus, que lorsque je me rends à l’atelier pour inciser du métal ou tracer des lignes de dessin, j’accomplis un acte essentiel, un acte de résistance. Cet acte me met en lien avec la fonction somptuaire de l’œuvre d’art, celle dont nous parle Bataille à propos de Lascaux, celle de l’esthétique, c’est-à-dire de la quête de sens. »

Archivé: MOTTA Philippe

peC2

L’arrivée massive des écrans nous laisse encore papier, crayons, encre… mais a provoqué l’obsolescence quasi-immédiate des machines à écrire mécaniques. De la même façon, l’écriture à la main s’est trouvée reléguée au titre de substitut aux claviers.
C’est pour poser ce double constat que je traite les machines à écrire comme des objets défunts, issus d’une archéologie du virtuel ; et que je les présente comme des antiques. Pour l’écriture manuelle, la genèse du processus renvoie davantage au dessin, à la graphie de la lettre. A sa plastique.

Archivé: CROCI Jacques

80 X 80

Pourquoi l’abstraction?(après avoir créé et dirigé 35 ans un cabinet conseil), Peut-être !….
1…. Un père, carreleur mosaïste né en Italie, qui me fait découvrir durant mon adolescence, la restauration et la création de décors de mosaïques, que je réalise sous sa houlette, avec des tesselles de faïence ou de grès, que je dispose sur les murs ou au sol en fonction de l’ordonnancement des formes et des affinités chromatiques qu’il me fait leur découvrir.
2…. Une attirance viscérale, pour la gestuelle picturale de peintres tels que: Hans Artung, Fabienne Verdier, Geoges Mathieu, ou Giancarlo Bargoni et bien “évidemment, pour leurs abstractions lyriques.
Abstractions qui s’affranchissent des apparences visuelles du réel, pour laisser place aux formes déstructurées, aux éruptions chromatiques, aux jaillissements spontanés et aux coulures.
Hermétiques, exigeantes, leurs toiles demandent un effort d’interprétation. Elles illustrent très certainement mes états d’âme, mes questionnements et d’une manière générale, tout ce qui, de mon passé, reste inabouti.
3…. Une compagne, diplômée de l’école des beaux arts, professeure de dessin, qui guide mes premières tentatives, m’initie et me conseille.

Archivé: PETROLEUM (GREGOIRE Bertrand)

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Né en 1960, mes sculptures sont la résurgence de souvenirs d’atelier de mon grand-père garagiste, le témoignage anticipé de l’âge d’or révolu du pétrole et du consumérisme.

La collection PETROLEUM
Dans la lignée des ready-made, l’artiste conjugue récupération et création, mêlant techniques de détournement et fonderie où se côtoient pièces mécaniques et bidons usés.
Ses personnages issus de l’iconographie BD et cinéma, constituent autant de personnalités cocasses et attachantes dont les visages semblent tirer toute leur expression des aléas du métal coulé ; un univers texturé et chromatique, d’où émane de ces matériaux bruts, une sensibilité à fleur de métal.

Archivé: CROCI Jacques

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Mes origines, ma prédilection pour les matériaux, l’univers architectural et la découverte de Hans Hartung, Fabienne Verdier et surtout Giancarlo Bargoni me poussent à aborder la peinture, pour vite, la fusionner à la chaux, aux plâtres, sables, graviers afin de les « maçonner » et les griffer sur la toile.
De mes projections, jaillissent des compositions picturales qui tendent à créer un univers onirique, propice à frapper l’imaginaire du contemplateur. Cette apparente spontanéité n’intervient qu’après une longue réflexion préalable sur le positionnement et l’équilibre des grandes masses. On peut qualifier mon travail, d’abstraction lyrique européenne.

Archivé: JACQUES Christian

Ardeche1

Je raconte des histoires humaines avec les formes, la matière, la lumière.
Je taille la pierre pour susciter l’imaginaire et l’émotion.

C’est ce que je fais qui me dit ce que je cherche.
C’est la chose faite qui dit.
Je sculpte pour résister à la bêtise et à la vulgarité de la société de la marchandise.

Archivé: FRESCH Stefano

Vision n.1

Mon activité artistique a commencé en 2017, elle est le résultat d'un besoin expressif né après plusieurs années de voyage autour du monde. Après avoir voyagé et vécu en Inde, au Brésil, au Pérou, en Argentine puis en Espagne, j’ai commencé à dessiner, peindre et m’initier au graphisme. En France, j'ai commencé à étudier différentes techniques en tant qu'artiste autodidacte. J’ai par ailleurs participé à des cours à l'atelier Biz Art où je me suis formé à l’aquarelle, l’huile, l’acrylique et le dessin. Mon travail explore les thèmes du rêve, de la spiritualité et de l'au-delà à travers un style à la fois psychédélique et géométrique, parfois ponctué d’une touche surréaliste et pop. Sans crainte d'expérimenter et de mélanger différentes techniques, je suis dans une phase artistique en développement, expérimentale et indépendante. Dans mon atelier sous les toits, rue Pargaminières, les visiteurs pourront découvrir mon travail artistique regroupant plusieurs séries d’oeuvres. Ils pourront également trouver mes photos de voyage et entendre les histoires qui ont donné naissance à mes œuvres. Ce serait un réel plaisir pour moi de pouvoir échanger autour de mon travail et accueillir les visiteurs dans mon lieu de création.

Archivé: TINE-CHASSAGNE Line

Formation Beaux Arts de Toulouse. J’ai commencé par faire des installations et des sculptures , béton, plomb, bois, tissus, etc.

J’avais gardé le dessin  pour la dernière partie de ma vie; m’y voici donc !
Je cherche par le dessin à voir ce qui relie les formes, à éprouver les lignes de forces qui viennent de l’intérieur et celles qui viennent de l’extérieur, comment la forme se définie sous leur poussées respectives. C’est ce que  je recherche avec le dessin.

Parfois cette poussée vient dans ma main directement…

Archivé: MOTTA Philippe

peA

L’arrivée massive des écrans nous laisse encore papier, crayons, encre… mais a provoqué l’obsolescence quasi-immédiate des machines à écrire mécaniques. De la même façon, l’écriture à la main s’est trouvée reléguée au titre de substitut aux claviers.
C’est pour poser ce double constat que je traite les machines à écrire comme des objets défunts, issus d’une archéologie du virtuel ; et que je les présente comme des antiques. Pour l’écriture manuelle, la genèse du processus renvoie davantage au dessin, à la graphie de la lettre. A sa plastique.

Archivé: JACQUES Christian

Ardeche1

Je raconte des histoires humaines avec les formes, la matière, la lumière.
Je taille la pierre pour susciter l’imaginaire et l’émotion.

C’est ce que je fais qui me dit ce que je cherche.
C’est la chose faite qui dit.
Je sculpte pour résister à la bêtise et à la vulgarité de la société de la marchandise.

Archivé: CROCI Jacques

Mes origines, ma prédilection pour les matériaux, l’univers architectural et la découverte de Hans Hartung, Fabienne Verdier et surtout Giancarlo Bargoni me poussent à aborder la peinture, pour vite, la fusionner à la chaux, aux plâtres, sables, graviers afin de les « maçonner » et les griffer sur la toile.
De mes projections, jaillissent des compositions picturales qui tendent à créer un univers onirique, propice à frapper l’imaginaire du contemplateur. Cette apparente spontanéité n’intervient qu’après une longue réflexion préalable sur le positionnement et l’équilibre des grandes masses. On peut qualifier mon travail, d’abstraction lyrique européenne.

Archivé: MOTTA

peA

L’arrivée massive des écrans nous laisse encore papier, crayons, encre… mais a provoqué l’obsolescence quasi-immédiate des machines à écrire mécaniques. De la même façon, l’écriture à la main s’est trouvée reléguée au titre de substitut aux claviers.
C’est pour poser ce double constat que je traite les machines à écrire comme des objets défunts, issus d’une archéologie du virtuel ; et que je les présente comme des antiques. Pour l’écriture manuelle, la genèse du processus renvoie davantage au dessin, à la graphie de la lettre. A sa plastique.

Archivé: TINE-CHASSAGNE Line

Formation Beaux Arts de Toulouse. J’ai commencé par faire des installations et des sculptures , béton, plomb, bois, tissus, etc.

J’avais gardé le dessin  pour la dernière partie de ma vie; m’y voici donc !
Je cherche par le dessin à voir ce qui relie les formes, à éprouver les lignes de forces qui viennent de l’intérieur et celles qui viennent de l’extérieur, comment la forme se définie sous leur poussées respectives. C’est ce que  je recherche avec le dessin.

Parfois cette poussée vient dans ma main directement…

Archivé: FRESCH Stefano

Vision n.1

Mon activité artistique a commencé en 2017, elle est le résultat d’un besoin expressif né après plusieurs années de voyage autour du monde. Après avoir voyagé et vécu en Inde, au Brésil, au Pérou, en Argentine puis en Espagne, j’ai commencé à dessiner, peindre et m’initier au graphisme. En France, j’ai commencé à étudier différentes techniques en tant qu’artiste autodidacte. J’ai par ailleurs participé à des cours à l’atelier Biz Art où je me suis formé à l’aquarelle, l’huile, l’acrylique et le dessin. Mon travail explore les thèmes du rêve, de la spiritualité et de l’au-delà à travers un style à la fois psychédélique et géométrique, parfois ponctué d’une touche surréaliste et pop. Sans crainte d’expérimenter et de mélanger différentes techniques, je suis dans une phase artistique en développement, expérimentale et indépendante. Dans mon atelier sous les toits, rue Pargaminières, les visiteurs pourront découvrir mon travail artistique regroupant plusieurs séries d’oeuvres. Ils pourront également trouver mes photos de voyage et entendre les histoires qui ont donné naissance à mes œuvres. Ce serait un réel plaisir pour moi de pouvoir échanger autour de mon travail et accueillir les visiteurs dans mon lieu de création.